Valatypical est un projet de soutien pour les jeunes de 16 à 25 ans atteints de troubles du spectre autistique. Sa réalisation a été approuvée par le Conseil régional de la Vallée d’Aoste. L’objectif est d’améliorer la qualité de vie des jeunes avec ce problème avec un soutien, pour arriver enfin à un chemin de vie individualisé. Le cours offrira des expériences visant à: accroître la conscience de soi et de ses forces pour définir la planification individuelle; analyser les attentes, les intérêts, les motivations, les compétences et les connaissances acquises par le destinataire; mener une activité de conseil afin d’aider la personne à prendre des décisions de manière autonome.
Valatypical s’insère dans le plus large plan de définition des critères et modalités d’utilisation du Fonds de prise en charge des sujets atteints de troubles du spectre autistique, qui prévoit la promotion de projets de recherche, coordonnés par les Régions, sur la connaissance des troubles du spectre autistique et bonnes pratiques pour la formation des opérateurs, surveillance pharmacologique, parcours différenciés pour la formulation du projet de vie des personnes atteintes de troubles autistiques et de leurs familles.
«Après les précédents projets financés par des fonds publics pour l’autisme, menés par la Région en collaboration avec l’Agence USL de la Vallée d’Aoste, la «Rete per il riconoscimento/diagnosi/intervento precoce su disturbi dello spettro autistico” (PRE.DI.RE) et le Projet EVA de l’âge du développement à l’âge adulte -parcours d’aide thérapeutique au diagnostic-, le projet approuvé aujourd’hui représente une nouvelle étape importante vers une meilleure approche et intervention auprès des sujets autistes et en particulier des jeunes – a déclaré l’Assesseur à la Santé, Roberto Alessandro Barmasse -. Valatypical entend en effet décliner le thème de la qualité de vie en se référant à un domaine spécifique de bénéficiaires, à savoir les jeunes de la tranche d’âge 16-25 ans pour lesquels il est important de prévoir des interventions d’accompagnement, même si elles ne font pas partie de l’offre existante sur le territoire. Nous croyons que le concept de qualité de vie, se référant à la personne dans son ensemble, représente une révolution culturelle dans l’évaluation de l’utilité des pratiques socio-éducative-sanitaires. »