La vie de l'Union

L’Union se raconte: Fabrizio Conchâtre

L'Union se raconte

Fabrizio Conchâtre, né en 1978, est membre de l’Union Valdôtaine depuis dix-huit ans «mais j’ai toujours aimé la politique depuis que j’étais enfant – tient-il à préciser – et je l’ai toujours suivie. On en a toujours parlé en famille et nous sommes tous Unionistes». Son oncle Augusto Mellé fut l’un des fondateurs de la section de Saint-Oyen, aujourd’hui sous la présidence de Fabrizio, et il a influencé grandement sa pensée : «il tenait beaucoup à l’Union, Il m’en a toujours bien parlé. Je peux dire qu’il vivait pour l’Union et quand il a été nommé Président Honoraire, il en a été très content».

Malgré cette atmosphère familiale positive envers l’Union Valdôtaine, les parents de Fabrizio n’ont jamais essayé de le pousser à voter d’une certaine manière et quand il a eu 18 ans, ils lui ont dit qu’il était temps d’écouter tous, de se forger sa propre opinion et de voter en conséquence. «Et donc, en toute liberté, j’ai décidé d’entrer dans la Section en 2005, après avoir terminé mes études et avoir ouvert mon studio de géomètre, la profession que j’exerce toujours» et à ce moment-là il avait désormais élaboré son opinion politique, en toute indépendance.

Fabrizio Conchâtre est Président de la Section depuis environ 5 ans: c’est une petite section composée d’une dizaine de membres. «On se retrouve au moment des réunions, ou à tout moment où il y en a besoin. Nous nous rencontrons au domicile de quelqu’un d’entre nous ou à la Salle Communale». Il y a environ deux cents électeurs à Saint-Oyen, dont 30/35 résidents à l’étranger «Oui, et quand il n’y avait pas encore le dépouillement des bulletins de vote centralisé et donc on pouvait voir les résultats de notre Commune, l’Union Valdôtaine s’en sortait toujours bien».


Poursuivant sur ceux qu’il considère les points forts de notre Mouvement, c’est-à-dire sur ce que Fabrizio Conchâtre aime le plus, il répond de manière catégorique : «son histoire, sa façon de faire de la politique, ses idéaux. Je pense que les idéaux qu’avaient nos pères fondateurs se sont malheureusement perdus.. mais il ne faut pas baisser les bras et il faut essayer de les faire revivre peut-être en les adaptant à la période politique actuelle. En les adaptant, mais sans trop s’en détacher: il faut se rappeler que nous sommes toujours ‘ni droite, ni gauche’.. et il faut y rester, sans aller trop loin, surtout pas en allant vers l’extrême droite ou l’extrême gauche . Ce serait notre fin».

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