Un mois de campagne électorale intense, pétri de sentiments et d’émotions jour après jour plus colorés et vivaces. Une ouverture, quelque jour après la présentation des listes, à laquelle nous nous sommes préparés avec grande sérénité, mais en tous cas avec l’incertitude de qui ne sait pas trop quoi s’attendre, de qui est certain de la bonté du parcours entamé, mais qui ne peut être sûr que le message soit bien arrivé.
La réponse du peuple Unioniste a été, bien au contraire, immédiate et claire ! Une grande participation, pas seulement pour le nombre mais surtout pour l’enthousiasme et le climat de grande sérénité. Une ambiance de famille qui est devenue jour après jour plus chaude et prenante, au fur et à mesure que les rencontres s’enchaînaient, comme dans un crescendo d’une symphonie de Rossini.
En dépit des tempêtes que notre Mouvement a dû subir dans les derniers temps, les Unionistes ont démontré d’être toujours là, fiers de leur appartenance, fiers de leur maison. Une maison que quelqu’un aurait voulu détruire pour démontrer d’être au-dessus de l’histoire et au-dessus des idéaux, mais tout a été redimensionné dans les justes proportions : les égocentrismes à la nature humaine et les idéaux à l’histoire !
Le parcours a été entamé dans la juste direction et avec le juste rythme, on doit le poursuivre avec cohérence et persévérance, pour que l’Union Valdôtaine retourne à être le mouvement faisant référence pour tous les autonomistes valdôtains.
Dans l’attende de continuer le chemin, aujourd’hui je présente mes remerciements les plus sincères, à tous les candidats Syndics, conseillers régionaux et communaux et surtout à tous les Valdôtains qui ont cru, encore une fois, dans l’Union Valdôtaine. Dans la même façon je souhaite aux élus un profitable travail et une législature riche de satisfaction.
Nous avons encore un défi important à gagner, dimanche prochaine, dans la Ville d’Aoste, à Champdepraz et La Salle, la responsabilité de chaque Unioniste est engagée pour que le résultat soit le meilleur pour notre Mouvement.
Merci !
Erik Lavevaz