En ce 8 mars 2022, les pensées de «Les Femmes Valdôtaines» ne peuvent aller qu’aux femmes ukrainiennes, à leurs regards terrifiés et leurs tentatives effrénées pour amener les enfants en lieu sûr en essayant tendrement de les rassurer. Les pensées vont également aux femmes russes qui en ce moment voient leurs enfants obligés de s’enrôler dans une guerre que beaucoup d’entre elles ne partagent pas. Aux femmes afghanes réduites, selon l’interprétation des Talibans, à un rien qui ne dépasse pas la capacité de reproduction ou à être esclaves des volontés du père et maître mâles.
Images de femmes souffrantes malheureusement déjà vues maintes, maintes fois, presque partout dans le monde.
Une autre fois, «Les Femmes Valdôtaines» ne peuvent s’empêcher de se demander si les mêmes tragédies continueraient à se produire s’il y avait plus de femmes au sommet des puissances mondiales. Car, même s’il est vrai qu’il n’y a pas de division claire entre la mentalité des hommes et celle des femmes, il est aussi indéniable que la «vision féminine» du monde est différente et que, dans cette vision, les priorités de l’humanité sont nombreuses et variées… mais il n’y a pas de guerre! la guerre ne figure sur aucune liste de projets à poursuivre!
«Les Femmes Valdôtaines» ont décidé de célébrer ce 8 mars en aidant, sous différentes formes et dans la mesure du possible, les femmes ukrainiennes.
8 mars 2022